Pas question de m’aventurer dans
une autre histoire d’amour
Quelle place pourrais-je laisser à
une autre ?
J’ai beau consulter tous les
médecins, cela ne sert à rien
Ma maladie c’est toi puisque tu n’es
jamais près de moi
Quand j’ai trop faim, je grignote
n’importe quoi
Mais pour moi, me rassasier c’est
me nourrir de ton amour.
Quand ? Aujourd’hui ou demain ?
Quand serons-nous les yeux dans les
yeux ?
J’ai des céréales en abondance mais
je reste affamé
Car ma faim est la faim de tes
lèvres
Tu obsèdes mon esprit jour et nuit
et je meurs
De ton absence.
Un des albums les plus enthousiasmants que j’ai écoutés cette
année (c’est pas Bruce Gilbert ou Roly Porter qui vont égayer le mois de septembre). Apparemment l’album de l’âge d’or de la
musique éthiopienne et celui qui a donné à Mahmoud Ahmed une renommée
internationale. Faut croire que je ne suis pas dans les bons réseaux.
(Mahmoud Ahmed, Erè Mèla Mèla, 1975)
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